ET NON !... épisode 2
Non, nous n’avons pas rejoint la majorité municipale ou capitulé en rase campagne lors du conseil municipal exceptionnel du 19 janvier 2017 . Nous n’avons pas non plus abandonné ni désapprouvé l’association MACADEVI dans ses efforts pour faire émerger la vérité.
Le conseil municipal ce soir là n’est pas entré dans le fond de l’affaire : un permis de construire qui serait fondé sur des déclarations erronnées, voire mensongères, et devrait en conséquence être dans un premier temps annulé afin d’en produire un autre cette fois basé sur la réalité.
Le conseil municipal devait délibérer afin de permettre au Maire de déclencher la « protection fonctionnelle » d’un agent municipal qui s’estime diffamé par le tract de MACADEVI distribué dans la rue des écoles le jour des vœux du Maire.
Ce sont deux obligations légales auxquelles nul ne pouvait se soustraire. Tout employeur doit défendre un de ses agents attaqué dans l’exercice de ses fonctions dès lors qu’aucune faute n’est retenue contre lui. De plus le Maire n’a pas le pouvoir de déclencher cette protection sans un vote du conseil.
Alors, nous avons voté.
Sur le fond, tout demeure à expliquer.
Deux jeunes couples charmants l’un et l’autre se déchirent au point d’en venir aux mains pendant que la mairie se les lave, les mains, en disant « c’est une affaire privée » alors que tout part d’une situation créée par un permis de contruire signé par M le Maire.
Nous nous demandons si cette histoire de diffamation et de protection fonctionnelle ne serait pas une diversion destinée à éviter toute transparence sur un loupé dans un dossier.
« Errare humanum est, perseverare diabolicum » écrivait ce bon vieux Sénèque.
To be continued…