Qui sommes nous ?
Vos deux élus au conseil municipal se présentent :
Deux UMP noyés au milieu d’une majorité de 20 élus dont certains se disent UMP de cœur ! Quelques uns auraient même leur carte ! Comment peut-on se prétendre UMP et appartenir à une équipe dont le leader est un proche collaborateur de Gérard Colomb (PS) au Grand Lyon. Inconséquence ou clientélisme ?
Annie Damian, numéro deux de la liste « Passionnément Sathonay-Camp ». Son grand père paternel est arrivé sur la commune dans les années 40 et a fondé la MARA, le négoce de matériaux de construction de l’avenue du Boutarey toujours géré par sa famille. Ses grands parents maternels (famille Vauthier) sont arrivés sur la commune vers 1910 ; ils habitaient boulevard Castellane, derrière l’épicerie Mansot.
Annie a travaillé dans l’administration des hôpitaux publics. En retraite depuis trois ans, elle poursuit une intense activité de conseil, coaching et formation dans le domaine des ressources humaines. Hyperactive, infatigable, c’est une experte reconnue et recherchée dans son domaine. Sa connaissance des dossiers sociaux et des techniques budgétaires, sa capacité à les approfondir et sa pugnacité en font une conseillère municipale active.
Jean-Marie LEMAL est plutôt un oiseau du large capturé par une Sathonarde !
J’ai servi la France dans la Marine pendant 25 ans, à bord de sous-marins pendant une douzaine d’années, puis sur des bâtiments de surface et dans les états-majors. J’ai participé à quelques rencontres « musclés » avec des forces navales soviétiques pendant la guerre froide ; j’ai commandé un bâtiment de guerre pendant la première guerre du Golfe en 1991 (http://www.netmarine.net/bat/cm/orion/ ) et contribué aux guerres yougoslaves. J’ai quitté la Marine Nationale en 1997 avec le grade de capitaine de vaisseau, deux diplômes d’ingénieur et quelques décorations (Chevalier de la légion d’honneur, croix de guerre théâtres d’opérations extérieures …) pour entrer dans l’entreprise. Directeur industriel, je gérais cinq usines réparties de la Vendée à la région lyonnaise.
Voilà nos pedigrees. Nous ne sommes pas des politiques, mais des citoyens « de base », des habitants d’une ville triste , des citoyens exaspérés par la gouvernance opaque d’une équipe vieillotte depuis trop longtemps au pouvoir.
Annie et moi sommes entrés à l’UMP en juillet 2012, peu après la défaite électorale de Nicolas Sarkozy, dans le but de contribuer à la « reconquête ». La situation de l’UMP aujourd’hui est difficile, mais mon ancien métier m’a appris à « endurer dans le gros temps ». Le vent finira par mollir, la mer par faiblir et nous reprendrons le bon cap pour la France, pour nos régions et pour Sathonay-Camp.